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14 mars 2008 à 18:22:01 par hooka hey Dites les modo, j'adore votre site et les sujets que l'on y aborde , mais c'est super chiant car, en me relisant et en voyant mes fautes, je ne peux plus les corriger........... Y'aurait pas moyen, dans un présent proche ............ |
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14 mars 2008 à 19:48:04 par Anonyme encore une grosse bêtise"à taille comparable, même cause = même effet" déjà ou sont les usines, les voitures etc ... pas les mêmes causes et justement la taille n'est pas comparable donc pas les mêmes causes mêmes causes si taille comparable déjà ça mêmes causes si usines, voitures etc ... donc bel et bien pas du tout les mêmes effets donc bêtise désolé jusqu'à preuve du contraire les amérindiens on jamais chercher à convertir qui que ce soit à leurs croyances de plus tu dis d'après des nombreuse études. Peux tu en donner la source ? Et le détail ? merci |
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14 mars 2008 à 19:49:12 par Anonyme Ah oui peux tu ouvrir un autre topic et éviter de polluer le post de terremère ? ça serait sympa.
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14 mars 2008 à 20:55:33 par hooka hey Primo, si je pollue le topic, c'est grâce à ton aide........ Secondo, même cause même effet........A époque comparable, (faut il le préciser, c'est grosso modo fin du moyen âge début de l'époque moderne)les effets d'une cité médiévale aux cités mississipiennes sont identiques (il y avait même des esclaves et des sacrifices humains, c'est dire...). Les conneries du genre "déjà ou sont les usines, les voitures etc ... pas les mêmes causes et justement la taille n'est pas comparable donc pas les mêmes causes mêmes causes si taille comparable déjà ça mêmes causes si usines, voitures etc ..." je te les laisse, tu m'as l'air convaincu par ce que tu dis. Bref, j'illustrerai mon propos par un exemple fictif, et après je m'arrêterai là. Tu as 90 ours sur un territoire donné. 10 indiens y habitent, et 90 "blancs" 90 % des indiens veulent une peau d'ours, 90 % des blancs également (les 10 % restant de chaque camps sont convaincus des risques de disparitions etc....). résultat, les indiens en tue 9, les blancs tuent le reste (soit 81). conclusion 1 : les indiens sont sages, et ne prélèvent que ce que peut donner la nature. Les blancs sont des violeurs de la terre mère, ils ont tué tous les ours restant. conclusion 2. les deux sont fautifs, car il n'y a aucune différence de nature, simplement de degré (je ne te cache pas que c'est cette option que je retiens quant à moi). conclusion 3: mon exemple est inopérant, personne n'a rien compris à ce que je voulais dire, et vous avez donc forcément raison PS : Je dis peut être des bêtises "anonyme", mais tu es très arrogant de croire que tu es le seul à forcément avoir raison. Et crois moi, l'arrogance est une très belle fome de bêtise. Signé : un abruti qui s'ignore |
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14 mars 2008 à 22:32:54 par Anonyme bon l'ami si tu veux continuer tes théories foireuses tu ouvre un topic on en parle si tu veux mais arrête de polluer le topic avec tes bêtises tu t'enfonceouvre ton topic avec le sujet que tu veux abordé et on en parle pour ma part je pollurai plus le topic de terremere |
Inscription : 29 janvier 2008 Dernière visite : 20 mai 2010 Message posté : 48 Sujet ouvert : 4 Connecté : Non |
15 mars 2008 à 00:10:21 par hooka hey "bon l'ami si tu veux continuer tes théories foireuses tu ouvre un topic on en parle si tu veux mais arrête de polluer le topic avec tes bêtises tu t'enfonce"Si tu le dis............ |
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15 mars 2008 à 00:20:43 par hooka hey Enfin, et moi aussi j'en finirai avec ce topic après cela, je cite quelques unes de mes sources (au moins, je ne serais pas seul comme étant le bouffon de service.... citations tirées du travail de l'ethnologue Philippe Jacquin, spécialiste reconnu des amérindiens (un vrai clown lui aussi quoi....) « L'Indien " écologiste " est une invention de l'homme blanc » « Lorsqu'au XVIe siècle, les explorateurs européens débarquèrent sur le continent américain, ils crurent découvrir un nouvel Éden. La population indienne (entre 4 et 7 millions d'habitants) était dispersée sur un espace immense, sans commune mesure avec les royaumes du Vieux Continent. Des régions entières du littoral étaient encore inhabitées, donnant l'illusion d'un monde à peine effleuré par la main de l'homme. Or cette nature magnifiée avait déjà subi de profondes transformations au cours des siècles. Le type d'agriculture pratiqué par certaines tribus indiennes avait en effet provoqué d'importantes modifications écologiques. » « Au XIIIe-XIVe siècle, les Hohokans, vivant dans les régions arides de l'actuel Arizona, avaient élaboré un vaste système de canalisation pour irriguer leurs champs de maïs. Ce faisant, ils déversaient de l'eau fortement saline sur les terres, appauvrissant les sols déjà menacés par de terribles sécheresses. Au bout d'un siècle de ces pratiques agricoles, les Hohokans furent obligés d'abandonner leur territoire. » « Le thème traditionnel de l'indigène errant dans une nature vierge, démuni de tout savoir-faire et de toute technologie, mérite d'être revu. » « Les travaux des historiens et des anthropologues, ont montré que dans les sociétés indiennes, avant la conquête par les Européens, l’esclavage était une pratique courante. Les captifs de guerre entre tribus indiennes pouvaient d’abord être soumis à la torture, ou tués, pour venger les guerriers morts. D’autres sont adoptés, prenant alors la place d’un mort dans une famille, mais ils sont en fait au service de la famille. Enfin, la dernière catégorie de prisonniers entre dans la catégorie inférieure d’esclaves. Cela se voit au vocabulaire : ils sont assimilés aux animaux, en particulier aux chiens. Ces esclaves effectuent des tâches dégradantes. Les chefs locaux, pour montrer leur puissance, cherchent ainsi à avoir le plus possible d’esclaves. Il faut signaler enfin que les Cherokees de la côte Est des États-Unis achèteront même des Noirs aux XVIIIe siècle, et revendront les esclaves fugitifs aux colons américains du Sud. Chassés par les Américains de leur territoire en 1838, ils partiront avec leurs esclaves noirs s’installer dans l’Oklahoma et pendant la guerre de Sécession entre le Nord et le Sud (1861-1865), ils soutiendront la cause sudiste contre l’abolition. » Voilà, ceci n'enlève en rien ma fascination, et j'ose dire, mon affection pour ces cultures et ces civilisations : Au contraire, cela me les rend plus humaine. |
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15 mars 2008 à 01:54:36 par Anonyme Salut a tous,Points de vue interessants et respectables de part et d'autre, mais pourquoi le manque de courtoisie? Opinions, religions, est-il necessaire d'imposer la sienne aux autres? Ce sont des regards differents sur le monde, c'est ok. Ce qui compte a mon avis, c'est plutot un truc unique et personnel: nos actes quotidiens sont-ils plus ou moins ajustes avec notre vision individuelle du monde? (au passage: le systeme de canaux des Hohokam existe encore & fonctionne toujours a Phoenix a l'heure actuelle) Pour en revenir aux films, un anonyme a demande plus haut: "les films dont tu parles, on peut les trouver en VF ou sous-titres?". C'est aussi ma question! je ne sais pas, je les ai vus aux US. Si possible, ce serait surement mieux de les voir en sous-titre car on entend les voix des personnages avec les intonations, les emotions, les silences meme... (meme si on ne comprend pas trop ce qu'ils disent). En VF, souvent les voix sont completement differentes, ne vont pas avec les personnages,... En regardant un film, quelqu'un s'est deja amuse a alterner instantanement entre l'anglais et le francais? ou meme une autre langue? Ce sont des mondes completement differents. Si on veut mieux s'impregner de la culture du film, je crois qu'il est preferable d'entendre la version originale, et au besoin lire les sous-titres. Je pense a un autre film super qui montre l'importance de la langue par rapport a la culture: EL NORTE (1983): l'histoire de 2 ados indiens du Guatemala qui fuient leur pays pour la Californie. La langue du film change avec le parcours: dialecte Maya, puis espagnol du Guatemala, puis espagnol du Mexique, puis anglais. Le film est soustitre en anglais (en francais peut-etre aussi?) aux endroits ou c'est necessaire. Bien qu'il s'agisse d'une culture amerindienne, ce film n'est pas aussi populaire ou connu aupres des indiens des US, probablement parce que l'experience (la migration) est tres differente. El Norte est un film exceptionnel, un de mes favoris, et je le recommende. (si je ne donne pas de details sur l'histoire, c'est pour ne pas gacher le suspense pour ceuz qui veulent le voir) Pour echanger, je suis aux US et je ne crois pas que les DVD ou VHS du coin soient compatibles avec ceux de la France. Quelqu'un d'autre sera peut-etre interesse? Val |
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15 mars 2008 à 09:19:23 par hooka hey Tu as raison, VAl, la courtoisie est la plus élémentaire des politesses, et j'y ai manqué. je m'excuse d'avoir blessé quelqu'un par mes propos, à commencer par toi "anonyme" Encore toutes mes excuses |
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15 mars 2008 à 09:35:33 par Anonyme si tu veux t'amuser à citer ont peut s'amuser à citer j'ai tout mon temps je pense que cela aurait été plus approprié dans un autre topic mais bon monsieur qui croit tout savoir à envie de s'amuser alors allons ypour infos il existe des professeurs d'université negationniste (affaire jean plantin entre autre) ce qui veut dire qu'un professeur d'unif peut raconter des grosses bêtises Déja dès le départ à vouloir polémiqué tu es hors sujet. Dans un 1 er temps tu ne parle pas du film, le topic parle d'un film, apparemment tu l'as pas vu car les peuples amérindiens dont il est sujet dans le film n'ont rien à voir avec ceux dont tu parles. Regarde le film et vient discuter intelligemment eten rapport avec le sujet ensuite. ENsuite Les Amérindiens vivent de manière écologique. Leur existence participe des rythmes de la nature, de la vaste étendue du ciel et de la terre ; elle se déroule en affinité avec le Grand Esprit (Wakan Tanka, pour le peuple Lakota sioux), origine-fin de toutes choses ; elle immerge, comme dans un rêve ou une vision, dans les profondeurs symboliques du mystère, ou bien s’ élève, à l’ instar des vols des shamans, à des niveaux de perception élargies. L’ écologie des Amérindiens est sacrée : c’ est dans la nature (la roue médecine), à la fois mère et sœur, que le destin de l’ homme revêt tout son sens et s’ accomplit . Les Natifs d’ Amérique ont une vision écocentrique du monde : ils font de la nature, et non de l’ homme, le centre de toutes choses . Qu’ il s’ agisse des plantes, des animaux ou des paysages, l’ homme est le gardien et le responsable du devenir sacré de la nature, de sa réalisation et de sa création . Le parcours de l’ homme dans la roue médecine débouche sur la conscience de ce destin . Il existe un mystère bien plus grand que nous, dont nous sommes issus et à qui nous appartenons; nous sommes nous-mêmes ce mystère et, avec toutes les autres créatures vivantes, nous composons cette fresque extraordinaire, cette symphonie magistrale, cette éclatante œuvre d’ art qu’ aucun esprit humain ne pourra jamais concevoir et que seule la nature peut engendrer . L’ histoire de la nature est une histoire créatrice, un interminable récit ; c’ est en elle que s’ inscrit aussi notre histoire, que se célèbre le mystère même de la nature, qui est la vie éternelle . Les Indiens d’ Amérique assimilent la nature au transcendant, car le Grand Esprit, le Grand Mystère, ne se situe pas au-delà de la nature, mais dans la nature et le Grand Tout qui nous entoure. Une indienne Pueblo disait : La question n’ est pas de savoir si dieu est ou n’ est pas la-haut. L’ important est qu’ il soit autour de moi, En moi, en toi, dans l’herbe … L’ important est qu’ il soit partout. Je le perçois qui m’ entoure et je me sens à l’ abri. Merci ! Les Indiens et leur culture écologique ont été annihilés par les colonisateurs et leur culture anthropocentrique . Le résultat s’ étale sous les yeux de chacun : en ce début de troisième millénaire, la nature se meurt et l’ homme a perdu son sens et son destin . Résigné au fatalisme, il s’ enchaîne à la machine qui l’ entraîne au loin et regarde l’ horizon s’ éteindre dans l’ obscurité menaçante . Du néant derrière lui jaillit non pas le fantôme qui le sauve, mais le monstre d’ acier qui l’ anéantit . Les Amérindiens peuvent cependant encore nous apprendre _ et je souhaite que cet écrit soit d’une quelconque utilité en ce domaine _ à assumer nos responsabilités envers la nature et envers les générations futures . Ainsi, seulement, leur sacrifice n’ aura pas été inutile et nos enfants, petits-enfants, arrières-petits-enfants, ainsi que l’ ensemble des générations à venir pourront encore profiter de la vue de la nature, eux aussi gardiens et responsables, comme nous, de cette vertigineuse beauté qu’ est la vie. Puissiez vous aussi prendre conscience de l'importance de respecter notre Mère-Terre, et tout ce qui nous entoure. Alors vous marcherez sur le Sentier de la Beauté. A toute ma parenté! Mitakuye Oyasin! Wanbli Ska |
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