Blague en Lakota
Français | Lakota |
Ohinni tokecasni : wasicu kin wicasa kin okahnigesni | C'est toujours pareil : l'homme blanc ne comprend pas l'indien |
Un blanc habite dans une maison située au fond du Dakota du Nord. | North Dakota itokagatakiya etanhan tipi wan wasicu wan oti. |
L'hiver approche donc le blanc veut couper du bois. Car il veut chauffer sa maison avec. | Waniyetu glicu canke le wasicu kin can waicisniyan cin. Ca tipi tawa kalya cin. |
Il commence son travail quand il voit un indien. | Oecon tawa tokahan na wicasa wan wanyanka. |
Le blanc demande : | Wasicu kin cin : |
Ami, discutons ! L'hiver sera-t-il froid ? | Kola, kiciwakiya yo ! Waniyetu osni kte hwo ? |
L'indien jette un oeil autour de lui et répond : Evidemment, homme blanc. L'hiver sera froid. | Wicasa kin ayoka na woza : Ecas, wasicu. Waniyetu osni kte. |
L'indien s'en va vers chez lui et le blanc, solitaire, reprend son travail. | Wicasa kin gla na wasicu kin, wicasawanica, oecon tawa yeye. |
Le lendemain, l'indien repasse encore. | Ihinhanna wicasa kin ake wanji hi. |
Ami, le fait qu'on se revoit me fait (bien) plaisir. L'hiver froid, tu le penses vraiment ? | Kola, wankiciunyanka pilamaya. Waniyetu osni, yecala wicayala hwo ? |
Oui, étranger. L'hiver sera froid, terrible. J'ai dit. | Hau, wicasatokeca. Waniyetu osni osnisni ktelo. Epa |
L'indien s'éloigne à nouveau. Le bois pourrait venir à manquer, voilà ce que pense le blanc, alors il se remet encore et encore à découper du bois en morceau. | Wicasa kin akigle ki. Can naokpani okihipica kin he wicala, canke wasicu kin can akiglegle kaksa. |
Une semaine après, le blanc ne sait plus où ranger le bois découpé. | Anpetusakowin ca ihakab, itoki wasicu kin can kaksaya unpa okihi kin he slolyasni. |
Encore une fois, le blanc voit l'indien passer. | Ake wanji, wasicu kin wicasa kin wanyanka. |
Hé, écoute moi un peu s'il te plait ! Un grand froid va-t-il se pointer ? | Hei, anamagoptan u yeto ! Osni tanka wan hi kte hwo ? |
Evidemment, homme blanc, un grand froid va arriver. Je l'ai déjà dit. | Ecas, wasicu, osni tanka wan hi kte. Ecana epa. |
C'est vraiment la vérité ? | Wicaka hca ? |
La pure vérité. Personne ne pourra oublier cet hiver. | Wicakapihca. Tuweni le waniyetu akiktonja okihisni ktelo. |
Mais comment peux-tu toi connaitre ce détail ? | K'eyas tokel le woyake kin slolyaye hwo ? |
Mon peuple a un proverbe. Un dicton dit : plus l'homme blanc coupe du bois, plus l'hiver sera froid. | Oyate mitawa wiyacinpi wan yuha. Wicoie wakan wan eya : iyakab wasicu can kaksa, isanbya osni ktelo |
Blagues
"Demain, pluie".
Le lendemain il pleut. Une semaine plus tard, l'Indien revient et dit au réalisateur : "Demain, orage".
Le lendemain un orage de grêle s'abat sur le désert. "Cet Indien est incroyable" s'exclame le réalisateur. Il demande à sa secrétaire de louer les services du Vieil Indien pour prédire le temps.
Pourtant, après de fructueuses prédictions, le Vieil Indien ne se montre plus pendant deux semaines. Finalement, le réalisateur envoie quelqu'un le chercher.
"Je dois tourner la scène principale du film demain" dit le réalisateur "et je dépends pleinement de vous. Quel temps va t'il faire demain ?".
L'Indien hausse les épaules.
"Je ne sais pas" répond t'il. "La radio est cassée…"
A ce moment-là l'Indien lève la tête : "Chariot" dit-il, "à peu près à 2 miles par là. Il y a deux chevaux, un marron, un blanc. Un homme, une femme, un enfant, et divers objets ménagers à l'arrière."
"Incroyable !" s'exclame le cow-boy "Cet indien sait à quelle distance ils sont, combien de chevaux il y a, de quelle couleur ils sont, qui est dans le chariot, et ce qu'il y a à l'intérieur… stupéfiant !"
L'Indien lève la tête et dit "Ils étaient devant moi il y a environ une demi-heure…"
terre, a enlevé tout ses vêtements et m'a dit, « Prenez ce que vous voulez. »
Le premier Shoshone a incliné la tête avec approbation, «Bon choix, les vêtements ne t'auraient probablement pas bien allé»...
Le lendemain, le même indien revient. Il a de nouveau dans une main son pistolet et traîne derrière lui un autre bison mâle. Il s'approche du comptoir et dit une nouvelle fois au serveur : "Je veux un café". Le gars derrière le comptoir réponds "Whoa, Tonto ! On vient juste de finir de nettoyer ton "bordel" d'hier. Mais qu'est-ce que tout ça signifie, d'ailleurs ?".
L'indien Tunica sourit et réponds fièrement : "Je m'entraîne pour obtenir une place au Congrès des Etats-Unis : vous entrez, vous buvez un café, vous abattez le taureau, vous laissez un "gros bordel" derrière vous pour que les autres nettoient et vous vous éclipsez pour le reste de la journée…
Et sur le lac, le fils oiseau demande: Père, quel est ton secret pour choisir les endroits de pêche? Très simple. Tu vois les deux amérindiens mangeurs de poisson qui sont sur la terre? Alors tu te places devant et il n'y a pas de problème. L'endroit est bon...
"Alors est-ce qu'ils marchent ?" demande t'elle.
L'Indien Choctaw répond : "Oui… Non… Oui… Non…"…
Les trois étrangers sont de cultures variées. Un est un Indien, un autre est un cow-boy de l'ouest du Texas et l'autre personne est un Musulman pratiquant.
Durant la conversation, ils commencent à parler des origines de leur culture. L'indien déclare : "Avant, mon peuple était nombreux, maintenant nous sommes très peu."
Le Musulman dit avec arrogance : "Avant mon peuple était peu nombreux, maintenant nous nous sommes beaucoup multipliés."
Le cow-boy regarde le Musulman, tourne le cure-dents dans sa bouche et dit avec un sourire sournois : "C'est parce qu'on a pas encore joué aux Cow-boys et aux Musulmans"…
Elle pose son sac sur le bureau du Président de la banque qui est également indien.
"Où avez-vous eu tout cet argent ?" demande t'il. "Benh, vous voyez, " répond la grand-mère "je fais des paris".
"Des paris ?"
Il veut en savoir plus.
"Oui." Rétorque t'elle." Par exemple, j'ai parié 25 000 dollars que vous n'êtes pas basané partout.
J'ai parié que sous votre slip vous êtes tout blanc"
Le Président de la banque lui dit "d'accord je prends le pari et je suis basané partout". "Okay !" approuve la vieille grand-mère futée.
"Toutefois, demain quand nous aurons arrêté les paris, je veux que mon avocat soit avec moi. C'est un Indien également."
"D'accord, d'accord" accepte le Président de la Banque Nationale.
Quand il rentre chez lui, il va vérifier s'il est vraiment basané partout. 25 000 dollars c'est quand même un investissement !
Le jour suivant, quand la grand-mère revient, elle est accompagnée par son avocat, et le président est prêt à les recevoir.
La grand-mère indienne s'adresse à lui : "je n'irai pas par 4 chemins. Je veux savoir si vous êtes basané partout."
Le président réfléchit un moment, les 25 000 dollars il les veut vraiment, alors il baisse son pantalon et son slip pour montrer à la vieille Indienne qu'il était basané partout.
Il jette un œil à l'avocat qui se tape la tête contre le mur.
"Pourquoi fait-il ça ? demande le président.
La vieille grand-mère indienne répond : "Parce que j'ai parié avec lui 165 000 dollars que le Président de la Banque Nationale baisserait son pantalon pour moi."…
"Où avez-vous eu tout cet argent ?" demande t'il.
"Benh, vous voyez, " répond la grand-mère "je fais des paris.".
"Des paris ?" Il veut en savoir plus.
"Oui." Rétorque t'elle." Par exemple, j'ai parié 25 000 dollars que vous n'êtes pas basané partout. J'ai parié que sous votre slip vous êtes tout blanc."
Le Président de la banque lui dit "d'accord je prends le pari et je suis basané partout".
"Okay !" approuve la vieille grand-mère futée. "Toutefois, demain quand nous aurons arrêté les paris, je veux que mon avocat soit avec moi. C'est un Indien également."
"D'accord, d'accord" accepte le Président de la Banque Nationale. Quand il rentre chez lui, il va vérifier s'il est vraiment basané partout. 25 000 dollars c'est quand même un investissement !
Le jour suivant, quand la grand-mère revient, elle est accompagnée par son avocat, et le président est prêt à les recevoir. La grand-mère indienne s'adresse à lui : "je n'irai pas par 4 chemins. Je veux savoir si vous êtes basané partout."
Le président réfléchit un moment, les 25 000 dollars il les veut vraiment, alors il baisse son pantalon et son slip pour montrer à la vieille Indienne qu'il était basané partout. Il jette un œil à l'avocat qui se tape la tête contre le mur. "Pourquoi fait-il ça ? demande le président. La vieille grand-mère indienne répond : "Parce que j'ai parié avec lui 165 000 dollars que le Président de la Banque Nationale baisserait son pantalon pour moi."…
"Je comprends que vous, indiens, vous ayez votre propre équipement de survie indigène" se risque à dire leur capitaine.
"Monsieur, j'ai emporté un baril entier de cactus" dit l'indien Pima fièrement. "Quand je commence à avoir trop chaud, j'en coupe un au sommet et je bois." Le capitaine le regarde impressionné.
L'indien Pueblo dit : "Monsieur, j'ai apporté du pollen de maïs sacré. Quand j'ai trop chaud, je prie avec, et alors il pleut." Le capitaine le regarde encore plus interloqué;
L'indien Pawnee dit : "J'ai emporté la portière d'une Chevrolet Impala de 1959".
"Mais qu'est-ce que vous voulez faire avec ça ?" demande le capitaine.
"Benh" dit l'indien Pawnee, "si j'ai trop chaud, je n'ai qu'à descendre la vitre."…
(Celui dans le casino est sincère)…
"Non, pas avant qu'ils nous aient payé pour les Black Hills !" répond énergiquement le vieil homme.
"Combien vous voulez pour ce rat ?" Demande t'il.
"3 dollars pour le rat, et 1000 dollars pour l'histoire qui va avec." Répond l'antiquaire.
"Donnez-moi juste le rat", dit le Cheyenne et il s'en va avec.
Comme il marche dans la rue, il remarque deux rats qui le suivent. Comme il marche encore plus loin, de plus en plus de rats commencent à le poursuivre. Du temps qu'il arrive à la baie des milliers de rats s'étaient agglutinés derrière lui. Alors il monte sur la rambarde et jette le rat de bronze à la mer. A son grand étonnement, tous les rats sautent à l'eau et se noient.
Le Cheyenne retourne chez l'antiquaire.
"Ahh" s'exclame l'antiquaire chinois. "Maintenant vous voulez entendre l'histoire ?".
"Non" répond le Cheyenne, "Je suis juste revenu pour voir si vous n'aviez pas une statue de bronze d'homme blanc !"…
L'un d'eux est un membre de la nation Navajo.
Ils ont été tellement occupés toute la journée à rassembler le bétail qu'aucun des trois n'a pris le temps de manger.
Vers la fin de la journée, deux des cow-boys commencent à dire combien ils ont faim, et qu'ils allaient faire un énorme repas dès qu'ils seraient rentrés en ville.
Quand un des cow-boys demande à l'indien Navajo si lui aussi a très faim, celui-ci hausse les épaules et répond : "Non".
Dans la soirée après qu'ils soient arrivés en ville, les trois cow-boys commandent chacun un énorme steak avec une énorme assiette de pommes de terre sautées.
Comme le Navajo commence à dévorer son assiette avec, semble t-il, grand appétit, un de ses amis lui rappelle qu'il y a moins d'une heure il leur avait dit qu'il n'avait vraiment pas faim.
"Il n'était pas sage d'avoir faim" répond-il "Pas de nourriture…".
Un cow-boy se pointe et lui dit :
- C'est ton chien ?
- Lui être !
- Je peux lui parler un peu ?
- Chien pas parler !
Bon, le cow-boy s'approche du chien.
- Ca va ?
- Pas mal !
(Stupeur de l'Indien...)
- Cet Indien, c'est ton maître ?
- Ouais.
- Il est bien avec toi ?
- Oui, très bien. Il m'emmène pisser deux fois par jour, me donne de la bonne bouffe et joue avec moi.
Le cow-boy demande à l'Indien.
- C'est ton cheval ?
- Lui être !
- Je peux lui parler un peu ?
- Cheval pas parler.
Le cow-boy s'approche du cheval.
- Ca roule ?
- Bien !
(L'Indien de plus en plus ahuri)
- Cet indien, c'est ton maître ?
- Oui.
- Comment il te traite ?
- Bien. Il me monte bien, me fait faire juste l'exercice nécessaire, une bonne course par jour. Il ne me surmène pas, me fait boire régulièrement, et il m'a construit une cabane ou il y a de la litière et du foin.
(L'Indien n'en croit ni ses yeux ni ses oreilles)
Le cow-boy revient vers l'Indien.
- C'est tes chèvres ?
- Chèvres menteuses.
En même temps qu'il sirote sa boisson, il commence à faire quelques ronds de fumée avec son cigare. Après qu'il ait soufflé 9 ou 10 ronds dans les airs, un grand et coléreux indien marche lourdement vers lui et lui dit : "Une remarque de plus et je te défonce la tête !"…
Elle monte derrière lui sur le cheval, et l'indien lance le cheval au galop, et la jeune femme s'accroche au pommeau de la selle. Et soudain l'indien se met à crier "Wooooowhoooo!!!!!" le hurlement est si fort qu'il se transforme en un écho sur les collines environnantes. Et ça recommence encore et encore, le cheval continu son galop effréné, la jeune femme s'agrippe énergiquement au pommeau pour ne pas tomber à la renverse et l'indien toujours de crier "WOOOWHOOOO!!".
Finalement ils arrivent en ville, l'Indien laisse la jeune femme devant la station service, hurle une dernière fois "Yahoo!" et s'en va dans le coucher de soleil.
"Qu'est-ce que vous avez fait à cet Indien pour qu'il soit si excité ?" demande le gérant de la station.
"Rien !" frémit la jeune femme, "je suis juste montée à cheval derrière lui, j'ai mis mes mains autour de sa taille et j'ai tenu fermement le pommeau de la selle pour ne pas tomber".
"Madame" dit le gérant "les Indiens montent à cru !!"…
"Comment trois mecs peuvent voyager avec un seul billet ? " demande un des Blancs.
"Regarde, et tu verras !" répond un des Indiens.
Ils grimpent tous dans le train. Les trois Blancs prennent leur place respective, mais les trois Indiens se tassent dans les toilettes et ferment la porte derrière eux.
Peu de temps après que le train soit parti, le contrôleur passe pour vérifier les billets. Il tape à la porte des toilettes et dit, "Billet s'il vous plaît !". La porte s'entrouvre légèrement et une seule main sort avec le billet. Le contrôleur vérifie le billet et s'en va.
Les trois Blancs ont tout vu, ils sont d'accord c'est vraiment une bonne idée.
Alors, après le congrès, les trois Blancs décident de faire pareil que les Indiens pour le retour, ce qui leur permettra de faire quelques économies.
Au guichet de la gare ils achètent un seul billet. A leur grand étonnement, les trois Indiens n'achètent pas de billet. "Comment allez-vous faire pour voyager sans billet ?" dit un des Blancs perplexe. "Regarde, et tu verras !" répond un des Indiens.
Quand ils montent dans le train, les trois Blancs s'agglutinent dans une des toilettes et les trois Indiens dans un autre juste à côté. Peu de temps après que le train ait démarré, un des Indiens sort et va jusqu'au toilette où sont cachés les trois blancs. Ils frappent à la porte et dit "Billet, s'il vous plaît !"…
Il dit : "Madame, si ce super aspirateur ne fait pas des merveilles en nettoyant parfaitement tout ça, je mange tous ces morceaux jusqu'aux derniers."
Grand-Mère se tourne vers lui avec un sourire et dit : "Vous voulez du sel dessus ?".
Le vendeur demande : "Pourquoi me posez-vous cette question ?".
Elle répond : "Vous êtes sur la réserve, nous n'avons pas l'électricité…".
Soudain Ch'izhi pose sa main sur le genou de Rita. Rita, qui porte une très jolie jupe Navajo, sourit et dit à Ch'izhi : "Tu peux aller plus loin si tu veux !", alors Ch'izhi a conduit jusqu'à Page !
Aaahhhh... Il adorait le pain frit plus que tout au monde.
Dans un dernier regain d'énergie, il se retira du lit. Il descendit de l'étage et se rendit dans la cuisine.
Là, il y avait sa femme bien-aimée Liliane, qui malaxait la pâte pour une nouvelle fournée. Quand il allongea le bras pour prendre un de ces succulents pains frits, il reçut une tape sur le dos de la main avec la cuillère en bois que tenait sa femme.
"Ne les touche pas !" dit-elle. "Ils sont pour les funérailles !".
Quand quelqu'un a demandé pourquoi, ils ont répondu qu'ils avaient lu dans un journal qu'un bébé sur six dans le monde était Chinois et qu'ils ne voulaient pas d'un bébé chinois…
La voix de Dieu résonne : "Vous tous, venus de l'obscur pour aller vers la lumière, courrez à la lisière des nuages, faites un vœu et vous deviendrez celui-ci !".
Le Noir court et saute dans les nuages. Il dit : "Condor !" et il devient un magnifique condor.
L'Indien court, saute et dit "Aigle !" et il se transforme en un majestueux aigle tacheté.
L'oriental court, saute et dit "Dragon !" alors il se met à voler telle comme cette puissante créature.
Le Blanc court, glisse, et tombe dans les nuages et crie "Oh MERDE !"…
L'indou dit : "C'est pour mon Peuple" et il saute du 30ème étage du building.
Le Japonais dit : "C'est pour mon Peuple" et il saute juste après l'Indou.
L'Amérindien dit : "C'est pour mon Peuple" et il pousse l'homme blanc dans le vide…
Le premier vieux dit : "Hey Herb, où est-ce que tu vas pour les vacances cette année ?"
Herb lui répond : "je vais dans le Montana pour pêcher."
Le premier vieux le regarde et s'exclame : "Mais qu'est-ce que tu vas foutre là-bas, il n'y a rien à part une tripotée de ces damnés indiens".
Herb répond : "C'est vrai, mais toi où vas-tu ?".
Le premier vieux dit : "Je vais en Arizona m'imprégner de soleil !".
Herb le regarde et crie : "Mais tu es un crétin, il n'y a rien là-bas à part un tas de satanés indiens.
Alors, le petit indien se met à parler et commente : "Pourquoi vous n'allez pas tous les deux en enfer ? Il n'y a pas d'indiens là-bas !"…
Un beau jour un des anciens de la tribu Navajo locale, qui gardait un troupeau de moutons accompagné de son fils, s'approcha des astronautes.
Le vieil homme qui ne parlait que le Navajo leur posa cette question que son fils s'occupa de traduire: "Que font ces gens dans leurs vêtements si étranges ?"
Un des futurs membres de la mission répondit qu'ils s'entraînaient pour effectuer un voyage sur la lune. Le vieil homme sembla alors très excité et il demanda si les astronautes pouvaient se charger d'envoyer un message sur la lune de sa part.
Voyant là une opportunité de faire de la promotion pour pas cher, les conseillers en communication de la NASA répondirent positivement et l'on apporta au vieil indien un magnétophone.
Après que l'ancien ait enregistré son message, les conseillers en communication de la NASA demandèrent au fils de traduire le texte.
Mais le fils refusa. Alors les gars de la NASA apportèrent la cassette jusqu'à la tribu des Navajos. Ils firent écouter la bande à tout le monde, et aussitôt tous les Navajos se mirent à rire...
Et personne n'accepta de traduire le message du vieux. Alors les gars de la NASA firent appel au traducteur officiel de gouvernement. Le traducteur écouta le message et traduit :
"Faîtes attention à ces gens ! Ils sont venus pour voler votre terre."
Au bout d'une heure, il fait une pause et s'interroge "aurai-je assez de
bois pour l'hiver ?"
A ce moment passe un Sage Indien. Le trappeur l'interpelle :
- dis-moi toi qui est sage, l'hiver sera t il rude ?
L'indien le dévisage et, après quelques minutes de réflexion, répond :
- oui, homme blanc, hiver rude.
Le trappeur se dit qu'il faut qu'il coupe encore du bois et se remet a
l'ouvrage. Une heure après, il se redemande s'il aura maintenant assez de bois.
Le Sage Indien repasse alors et le trappeur lui redemande :
- toi qui vis depuis longtemps ici, l'hiver sera t il vraiment rude ?
L'indien le dévisage et lui répond : "hiver très rude"
Le trappeur, inquiet recoupe alors encore un stère de bois supplémentaire.
L'indien qui repasse par là à ce moment lui prédit : "hiver extrêmement rude"
Le trappeur, interloqué, s’arrête et demande au Sage Indien :
"mais quel est votre pouvoir de connaître la rudesse de l'hiver qui vient ?"
Et l'indien de répondre :
"grand sage indien avoir proverbe : plus l'homme blanc coupe du bois, plus l'hiver être rude".
Et le vieux chef, le plus sérieusement du monde répond : «Surtout ! Ne signez rien avec ces gars-là !»
L'Indien n'avait pas mangé de bon bifteck depuis longtemps et ravi de l'invitation, il expédia sa viande en un temps record.
Comme il semblait encore avoir faim, le blanc lui en offrit un second, remarquant simplement : «Comme j'aimerai avoir votre appétit !»
- Je n'en doute pas répondit l'indien. Vous avez pris no terres, nos montagnes, nos fleuves, nos saumons, nos bisons. Vous avez tout pris sauf mon appétit et maintenant vous le voulez aussi. Serez-vous un jour satisfait ?